Adrian Adamus - Psychiatre

• Prénom & Nom : Adrian Adamus
  
  
• Emploi : Psychiatre (je précise que psychiatre n'a pas d'accent circonflexe).
  
  
• Motivations HJ : J'ai déjà joué beaucoup de rôles dans les RPGs, mais jamais celui d'un psychiatre. Jeune guérisseuse, artiste ou vendeur à la sauvette c'est déjà fait, mais un perso plus vieux et plutôt intellectuel (il a un diplôme de médecine en psychiatrie !) me donne vraiment envie ! De plus en Allemagne ce beau pays, et un perso polonais... Parfait pour moi (faut dire que j'ai fait la fiche donc normal...^^)
  
  
• Exemple de post :

Comme à son habitude, Adrian mordillait un crayon, les pensées allant de la feuille qu'il avait devant les yeux à la soirée qu'il avait passé. Une soirée triste, la pluie battant les fênetres, un verre de vin rouge à la main, un air de musique classique. Et Adrian faisant les cent pas. Le sommeil semblait s'être absenté pour un moment, pourtant la nuit était là depuis des heures. Ces insomnies étaient rares, mais elles duraient toute la nuit. Jamais Adrian n'avait pris de médicaments pour dormir, même s'il aurait pu s'en procurer facilement.

Revenant au présent, il cligna des yeux. Ses paupières inférieures étaient marquées d'une ombre bleutée, et plusieurs cafés n'avaient rien pu y faire. Assis derrière son grand bureau, il relisait le dossier du patient qu'il allait recevoir. Un jeune dont la maladie n'était pas encore ciblée. D'ailleurs, cette séance était déjà la quatrième, et Adrian commençait à percevoir les signes d'un syndrôme qu'il connaissait bien. Deux coups frappés sèchement sur la porte de son cabinet le firent réagir.

"Bien... Allons-y !" dit-il en se levant. D'un coup de main, il lissa sa chemise et réajusta sa cravate. Avant d'ouvrir la porte, un sourire vint s'accrocher naturellement à ses lèvres. Il était prêt à acceuillir son jeune patient. La porte s'ouvrit sur un adolescent aux cheveux noirs, la tête basse, son regard caché par de longues mèches. Sans un mot, il entra et s'installa. La porte se referma, la séance pouvait commencer. Le reste tenait au secret médical.